Commerces fermés: une question «de vie ou de mort» pour certains

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Nous comprenons l’urgence menant les gouvernements à fermer les entreprises dites non essentielles, cependant les besoins essentiels ne sont pas les mêmes pour tous.

Alors que les plusieurs commerces et organismes ferment leurs portes temporairement, les personnes qui vivent avec des dépendances à l’alcool et aux narcotiques sont encore plus à risques de vivre des symptômes de sevrage pouvant mener à la mort.

Dans l’attente de mesures pour assurer une consommation sécuritaire et pour éviter des décès qui auraient pu être prévenus, nous réitérons :

1. Qu’il est plus que jamais important que les citoyens donnent de l’argent aux personnes en situation d’itinérance qui ont beaucoup de difficulté à s’approvisionner en ce moment, alors que les rues sont désertes.

2 . Qu’il est crucial que les policiers ferment les yeux sur la consommation en ces moments difficiles et s’abstiennent de demander aux personnes en situation d’itinérance de jeter leur alcool ou autres substances alors qu’il peut s’agir à ce point d’une question de vie ou de mort.

Lisez les commentaires de PLEIN MILIEU et de CACTUS Montréal sur le sujet en cliquant sur l’article ci-dessous

 

 

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Ann Lalumière, Coordonatrice des services en itinérance